Les parents de Grégory misent beaucoup sur la recherche d’ADN de parentèle, une méthode qui permet de relier une empreinte génétique avec d’autres issues de la même parenté et répertoriées dans le Fichier national automatisé des empreintes génétiques (FNAEG). Concrètement, Jean-Marie et Christine Villemin souhaitent que la recherche porte sur neuf traces ADN prélevées sur des courriers anonymes, une seringue et les vêtements de l’enfant. Rendez-vous à la page suivante >>