Cette technique est pratiquée en France depuis 2012. Elle a permis de résoudre plusieurs « cold cases », à l’image du dossier d’Elodie Kilik, violée et assassinée en 2002, ou l’affaire du violeur de Sénart (Essonne), confondu en 2015, 20 ans après les premières agressions. Ce mercredi 27 janvier, la chambre d’instruction de la Cour d’appel de Dijon a accepté « la quasi-totalité » des demandes de nouvelles expertises. Rendez-vous à la page suivante >>