Alors, elle regrossit lentement et le rôle d’Ulrika, une cantatrice germanique énorme, la sauve : « Je reprends possession de mon corps qui redevient officiellement mon instrument » et Marianne est heureuse. Gardant son sens de l’humour, elle confie : « Si je fais le compte de mes kilos yo-yo, j’en ai perdu quatre fois 20. L’équivalent de la centaine de kilos que je pèse aujourd’hui. »
Preuve que le bonheur, c’est simplement d’être soi-même !
[the_ad id=’2979′]