« Le président a voulu mettre une tension forte dans la machine », analyse un « ministre important » dans le Journal du dimanche. « Résultat : le gouvernement va tenir les délais », se félicite-t-il. Selon une autre figure de la majorité, toujours dans le JDD, « il y a eu trop de bazar depuis qu’il a annoncé la date du 11 mai pour que Macron tolère un retard dans le calendrier. Cette fois, il fallait que sa commande soit respectée ». Et ce, même si Edouard Philippe, éreinté par la crise, voulait décaler à début mai cette présentation.
Il s’agit des populations pour qui l’école à la maison est plus difficile, voire impossible en raison de problème d’accès numérique, de parents qui ne peuvent aider de la même manière leurs enfants.