Alors âgé de deux ans, Nolan garde aujourd’hui de graves lésions neurologiques qui limitent sa motricité à 10 %, ainsi que ses facultés intellectuelles. Aujourd’hui, sa mère fait face, tant bien que mal.
« Quand je le vois, je me dis que c’est pas possible. Une maladie rare, un accident de voiture, j’aurais pu comprendre, mais pas ça, pas un simple steak ».