Aujourd’hui, la maman de Nolan lui délivre chaque jour une vingtaine de cachets. « On ne sait même pas quelles peuvent être les conséquences à long terme d’un tel traitement, souffle la maman. Et s’il y en a, on s’en voudra encore de lui avoir administré ça… », poursuit Priscillia, qui s’est longtemps sentie coupable.
Beaucoup d’autres victimes ont développé un syndrome hémolytique et urémique (SHU), qui a de fortes probabilités de perturber à vie le fonctionnement des reins.