Les médecins sont naturellement inquiets. Djillali Annane, chef du service de réanimation de l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches (Hauts-de-Seine), est mitigé. Il expliquait au Monde : « Sur le plan strictement médical et sanitaire, il faudrait faire comme nos voisins, prendre des mesures plus strictes, comme reconfiner au 26 décembre, mais sur le plan de la santé mentale, de la capacité de cohésion de notre société, il est fondamental que Noël puisse se dérouler, que les familles puissent passer des fêtes heureuses. » Rendez-vous à la page suivante >>