« Si la causalité entre les lésions cutanées et le SARS-CoV-2 n’est pas démontrée par cette étude, elle est malgré tout fortement suspectée, notamment parce que le nombre de patients présentant des engelures à cette époque de l’année dans notre région est particulièrement surprenant. De plus, nous avons observé des regroupements de cas : plusieurs personnes simultanément atteintes d’engelures dans quelques fratries ou familles. », explique le Professeur Thierry Passeron, dermatologue et vénérologue, principal auteur de l’étude.