Delphine Jubillar : le SMS envoyé par son mari la nuit de sa disparition

« D’habitude, les choses se font de façon beaucoup plus fluide. Là ce n’est pas le cas. On se dit qu’on laisse les enquêteurs et les juges travailler, et que s’ils ne donnent pas accès au dossier, c’est qu’ils ont de bonnes raisons. Mais peut-être que si les parties civiles avaient accès au dossier, elles pourraient donner des indications, aider les enquêteurs, donner des pistes, suggérer des recherches. Mes clients ont été entendus dans les premiers jours, et plus rien depuis. L’enquête se prive de l’avis des parties civiles », regrette-t-il encore. Rendez-vous à la page suivante >>