Pour ses clients, l’attente, et l’angoisse qu’elle provoque, est insupportable. « Ils ont l’impression d’être face à un énorme point d’interrogation. Ils sont dans cette attente, où on ne peut pas admettre que c’est fini, où on ne peut pas faire son deuil. On est dans une espèce de no man’s land mental », conclut l’avocat albigeois. Rendez-vous à la page suivante >>