C’est lui qui avait donné l’alerte, le 16 décembre, vers 4 heures du matin, en constatant l’absence de son épouse dans leur maison. Son avocat, Me Jean-Baptiste Alary, a confirmé cette décision car selon lui, « mon client ne dispose d’aucune information, nous sommes dans l’attente la plus totale ». Une décision qui fait suite à une première constitution de partie civile des cousins et des proches de Delphine Jubillar qui, par cette démarche, souhaitent avoir accès au dossier. Rendez-vous à la page suivante >>