Rosa Maria da Cruz, la mère, âgée de 50 ans, qui comparaît libre, est poursuivie pour violences suivies de mutilation ou infirmité permanente sur mineur de 15 ans par ascendant, privation de soins ou d’aliments compromettant la santé d’un enfant par ascendant, et dissimulation ayant entraîné atteinte à l’état-civil d’un enfant. Cette femme, qui n’a pas fait de détention, encourt vingt ans de réclusion. L’affaire est jugée aux assises en raison du caractère «permanent» des séquelles de l’enfant, révélé par les expertises.