Elisa : le vétérinaire a examiné Curtis, « son museau était abimé »

Si le compagnon de la victime Christophe Ellul défend leur chien Curtis, l’agressivité de ce dernier a déjà été pointée, notamment par une bénévole au refuge dans lequel il avait été placé.

Frédéric Trinh a par ailleurs indiqué que le vétérinaire ayant examiné Curtis après la mort d’Elisa Pilarski a ainsi pu constater des excoriations cutanées sur son museau et le chanfrein, qui constitue la partie antérieure de la tête, située au-dessus du nez, entre la truffe et les yeux de l’animal. En d’autres termes, Curtis présentait des endroits dénudés, sans poils, dus à un frottement intense.