Même son de cloche du côté de Matignon, alors qu’Edouard Philippe n’hésite plus à taper du poing sur la table pour faire entendre sa voix dans le raffut. « On ne peut pas continuer d’être à l’arrêt pendant encore des semaines », justifie-t-on dans le camp du Premier ministre.
Pour autant, Edouard Philippe l’a assuré lors du dernier Conseil des ministres, le retour à la vie normale ne se fera pas du jour au lendemain, et le travail risque d’être chirurgical.