Avant d’ajouter : « Le quotidien est très difficile. Certains mois, on vit comme des clodos, en-dessous du seuil de pauvreté. Et on n’a pas de vacances. Avec Florence, on a fait une bonne première année, mais après ça s’est compliqué. Ce n’était pas une vie pour elle qui était habituée à avoir une paie à chaque fin de mois. »