Son avocate lève le voile sur la souffrance de cette femme dont la vie n’a été qu’une succession de cauchemars (dont le suicide de son fils) : « C’est une femme qui a vécu 47 années de souffrance, pour qui toute l’expérience médiatique et judiciaire qu’elle a vécue a été extrêmement lourde et compliquée. » Doit-on comprendre que Jacqueline Sauvage se serait donnée la mort ?