Kenza du Loft, 18 ans après

Si le Loft a compliqué son projet profes­sion­nel, Kenza a « eu la chance de rencon­trer des gens qui m’ont donné ma chance parce qu’ils ont cru en moi » :

« Quand tu sors du jeu, tout est beau, mais ça ne dure que trois mois. Forcé­ment, quand tu passes de l’ano­ny­mat le plus total à une noto­riété fulgu­rante comme celle-là, il faut avoir les épaules extrê­me­ment solides pour pouvoir rebon­dir à bon escient. C’est une expé­rience dont on ne sort pas tota­le­ment indemne »