Si le Loft a compliqué son projet professionnel, Kenza a « eu la chance de rencontrer des gens qui m’ont donné ma chance parce qu’ils ont cru en moi » :
« Quand tu sors du jeu, tout est beau, mais ça ne dure que trois mois. Forcément, quand tu passes de l’anonymat le plus total à une notoriété fulgurante comme celle-là, il faut avoir les épaules extrêmement solides pour pouvoir rebondir à bon escient. C’est une expérience dont on ne sort pas totalement indemne »