Les enquêteurs cherchent désormais à établir les responsabilités du crime entre A. et O. « Si la participation du jeune garçon semble relativement cernée, celle de la jeune fille et son rôle méritent d’être encore largement précisés », a ainsi commenté le procureur de la République, soulignant que l’instruction devrait affiner leur rôle et profil psychologique. Un camarade du mis en examen a par exemple expliqué au Parisien que la jeune fille était « devenue la chose d’A. ». Celle-ci décrit Kévin comme son « presque petit-ami », et de nombreux témoins évoquent leur relation tumultueuse, faite de ruptures et de retrouvailles. Rendez-vous à la page suivante >>