1 – Confiner à nouveau tout le territoire
C’est ce que souhaitent ouvertement certains médecins et des élus. Le professeur Djillali Annane, chef du service de réanimation de l’hôpital Raymond-Poincaré de Garches, est catégorique. « Il faut quelque chose de drastique, court, qui se terminerait autour du 20 janvier et qui permettrait de ramener le nombre de contaminations quotidiennes proche de 1 000 par jour », déclarait-il à franceinfo mardi.