Il a toujours refusé de porter une prothèse : « Jamais de la vie ! En revanche, s’il y avait un bras bionique pour 40 euros, je prends. Pour mettre une prothèse biomimétique, il faut être amputé, alors retirer mon bras… non merci. »
Quelque soit ce qui s’est passé ce jour de janvier 1990, Jamel Debbouze ne l’oubliera jamais !