Dès l’origine du projet, la troupe du Splendid a reproché à Michel Blanc d’avoir « brisé la cohésion du groupe« .
Il raconter : « Par esprit purement rigoriste, cela m’emmerdait qu’on écrive une suite aux Bronzés. Je n’ai donc pas participé à l’écriture du meilleur des deux films ! Les copains ont pu croire que j’avais pris la grosse tête »