Les Français ne sont pas testés dès les premiers symptômes

Autorités sanitaires et gouvernement semblent assumer une « stratégie ciblée » : « Nous testons toutes les personnes fragiles, à risques, hospitalisées évidemment, mais aussi les foyers collectifs, les résidents d’établissements collectifs de personnes fragiles ou âgées et, évidemment, les professionnels de santé », détaille Jérôme Salomon le 20 mars lors de son point de situation.

Une position officielle qui évolue sous la pression
Pourtant, le président du Conseil scientifique constitué par l’Élysée face au vi.rus, Jean-François Delfraissy, se prononce dès le 18 mars en faveur de tests massifs.