« Mon scénario privilégié, c’est de maintenir les calendriers tels qu’ils sont mais s’il le fallait, on est capable de faire des choses comme ça », comprenez : allonger les vacances d’hiver (en février) si les chiffres de l’épidémie venaient s’accroître de nouveau. Une décision qui serait vue d’un bon oeil par les plus jeunes qui disposerait de quelques jours en plus pour aller aux sports d’hiver par exemple.