En mentionnant le mot « chiens » au pluriel à l’époque, il intégrait ainsi la possibilité que les chiens participant à la chasse à courre ce jour-là pouvaient être impliqués dans la mort de la jeune femme.
Il a ainsi précisé dans ce communiqué que les résultats de l’autopsie du corps montraient que la mort de la jeune femme est due à « l’action d’un, ou plus probablement de plusieurs chiens au regard de la répartition des plaies, de leurs différences de morphologies et de leur profondeur ». Il ajoute que l’heure du décès se situe aux alentours de 13 h 30 avec un écart possible de plus ou moins deux heures.