Les résultats auraient été positifs et selon son avocat, le dossier devrait être clôturé prochainement. Il a été reconnu qu’il s’agissait d’un accident et que les blessures de l’enfant n’étaient pas volontaires mais accidentelles. En effet, l’expertise du médecin légiste indique que son « geste ne voulait pas causer de dommages aux occupants du véhicule ».
« Le cauchemar est terminé, c’était un accident. Sur la mise en examen, il y a une confusion entre le caractère volontaire du lancer de portable et celle de viser l’enfant, qui a été totalement écartée », précise Arié Alimi, l’avocat du couple qui s’estiment « victimes de leur réputation et d’un emballement médiatique », selon leur entourage.