En mars, cela avait choqué l’un des conseillers d’Édouard Philippe qui officiait alors à Matignon : « Je suis ressorti de cette crise écœuré, chaque ministère défendait ses intérêts, personne ne considérait les choses dans leur globalité et ne pensait à l’intérêt général », confiait-il, en septembre.Rebelote en novembre, mais personne ne s’en offusque plus : « Chacun est dans sa ligne et défend sa clientèle », explique alors calmement la conseillère d’un ministre. Rendez-vous à la page suivante >>