Sa soeur explique que la situation financière était « difficile, mais pas catastrophique. L’affaire était viable, mon frère avait même un autre projet. Il voulait notamment passer sur de l’élevage de volailles bio. Il en avait parlé à sa banque, elle n’avait pas suivi… Ça a été le coup de grâce ».
Actuellement, leur entreprise subsiste encore et en mémoire de leur défunt frère, ils vont essayer de la redresser en un an.