Quand une école est choisie pour être testée par l’Education nationale (en concertation avec l’agence régionale de santé -ARS- et les collectivités), les parents des élèves reçoivent un mail informatif.
« Rien ne peut se faire sans leur autorisation », indique le recteur Richard Laganier. Que risquent-ils à refuser le prélèvement de salive de leurs bouts’d’choux? Rien non plus, assure le représentant de l’Education nationale. Qui insiste cependant sur l’importance de ce dépistage massif « pour casser les chaînes de transmission et maintenir les écoles ouvertes ».