Cooper était en fait bien plus qu’une femme obsédée par la nourriture, elle avait carrément un diplôme en science de l’agriculture. Pendant ses études, elle avait étudié la façon dont les plantes grandissaient, dont les sciences et les animaux affectaient la vie humaine et l’effet de la pollution. On peut donc dire facilement qu’elle connaissait son sujet. Elle pensait que les animaux qui sont nourris avec des aliments de mauvaise qualité dans les fermes passaient cette nourriture en nous lorsque nous les mangions. Elle n’était pas végétarienne mais elle ne mangeait rien sans savoir exactement d’où cela venait.