La mère portait elle aussi des traces de coups : selon les premiers éléments, ces violences auraient peut-être été pratiquées pour justifier « une agression fantôme », commise par un autre individu sur elle et son enfant, pour « détourner les enquêteurs des faits qui se sont réellement produits », indique Jean-Philippe Lecouffe. Le couple voulait au départ expliquer qu’au cours d’une promenade, la mère et son bébé auraient été sauvagement agressés.