Un an après ce tragique fait divers, l’association « Innocence en danger » a envoyé une requête à la juge qui instruit l’affaire et au procureur de Reims dans laquelle elle demande que des poursuites soient engagées pour non-dénonciation de mauvais traitements et non-assistance à personne en péril à l’encontre de trois voisins et d’une amie de la mère du garçonnet, qui avait succombé d’une rupture de la rate et du pancréas due à « des mauvais traitements chroniques », selon le rapport d’autopsie.