Cet abri grillagé, non isolé, servait auparavant de cabane aux cochons ou encore de remise, et n’offrait ni chauffage, ni commodités. Une fois par semaine, la septuagénaire recevait de la nourriture de la part du couple. Elle était autorisée à marcher, mais toujours sous surveillance. En mars 2018, des voisins qui s’inquiétaient de son absence ont prévenu la police.