La police est alors venue à leur domicile deux jours après les faits : « On était déjà au courant que les services sociaux voulaient nous parler, c’est la procédure normale. Quand la police est venue, on nous a prévenu qu’on ne reverrait pas notre fille pendant 48 heures. Le stress. On n’était pas préparé à être embarqués », confie Nehuda.