Grâce à son expérience, ce père de deux enfants faisait ses cascades lui-même :
« On faisait ça avec de vraies pointes, sans mouche au bout, affirme-t-il fièrement. Tout se faisait dans les règles. Le vendredi c’était le jour des combats. Comme ça en cas de pépin, j’avais quelques jours pour, soit récupérer, soit me recoudre.
Parce qu’il arrivait toujours des petits accrocs. J’ai été amoché une fois au menton et une fois à l’aine« .